Larchey, 1865 : Tenir des propos grivois (1808, d’Hautel).
France, 1907 : Dire les choses crûment, au risque d’effaroucher les pudibonds, suivre le conseil de Victor Hugo :
Ô fils, ô frères, ô poètes,
Quand la chose est, dites le mot.
ou celui de Boileau :
J’appelle un chat un chat…
Il rit, chantonne, célèbre bruyamment les plaisirs qu’il sème : il a pour présenter chaque plat une aimable insistance qui trahit le mondain rompu aux politesses distinguées des réceptions, sauf que son parler est parfois gras, à la bonne franquette.
(Paul Pourot, Les Ventres)